Grand Réseau Sud Parisien
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Depuis le temps que j'en entendais parler, j'ai l'occasion de pouvoir descendre dans LES catacombes de Paris. Ouiiiii, je sais, il n'y a pas de catacombes à Paris,
mais le grand réseau sud contient quelques ossuaires et une histoire aussi hallucinante que riche. Mon seul regret sera peut-être d'avoir arrêté d'y descendre
pour faire des photos car l'endroit peut se photographier sans fin.
La plupart des photos ici présentes sont du tout début des années 2000, exception faites des cabinets minéralogiques où j'ai osé descendre le numérique.
Ce réseau totalise plus de 200km de galeries souterraines sous les 5è, 6è, 14è et 15è arrondissements de Paris. C'est est un véritable labyrinthe, avec ses nombreuses salles, escaliers, châtières. On peut y croiser du monde à presque toute heure de la journée et même en semaine. Certains habitués descendaient plus tôt afin de cacher quelques tracts avant que le gros de la troupe ne débarque.
Une fois intégré dans la communauté, je me suis retrouvé plus souvent à faire la fête, dormir sous terre ou creuser des châtières, construire des salles que faire des photographies. Mes week-end se sont rapidement scindés en vendredi photo (carrières de banlieue ou friches) et samedi GRS avec dodo sous terre. Il faut savoir que les carrières parisiennes sont beaucoup plus chaudes que les carrières de banlieue. Moins ventilées, chauffées par les galeries techniques. Paris est de toutes façons plus chaude en surface, à cause de son activité.
665 photos du passe-muraille prises en 2006. Plus de 6H de prise de vue étalées sur 3 descentes. Enjoy :)
urban-exploration.com
La plupart des photos ici présentes sont du tout début des années 2000, exception faites des cabinets minéralogiques où j'ai osé descendre le numérique.
Ce réseau totalise plus de 200km de galeries souterraines sous les 5è, 6è, 14è et 15è arrondissements de Paris. C'est est un véritable labyrinthe, avec ses nombreuses salles, escaliers, châtières. On peut y croiser du monde à presque toute heure de la journée et même en semaine. Certains habitués descendaient plus tôt afin de cacher quelques tracts avant que le gros de la troupe ne débarque.
Une fois intégré dans la communauté, je me suis retrouvé plus souvent à faire la fête, dormir sous terre ou creuser des châtières, construire des salles que faire des photographies. Mes week-end se sont rapidement scindés en vendredi photo (carrières de banlieue ou friches) et samedi GRS avec dodo sous terre. Il faut savoir que les carrières parisiennes sont beaucoup plus chaudes que les carrières de banlieue. Moins ventilées, chauffées par les galeries techniques. Paris est de toutes façons plus chaude en surface, à cause de son activité.
665 photos du passe-muraille prises en 2006. Plus de 6H de prise de vue étalées sur 3 descentes. Enjoy :)
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